mardi 22 avril 2014

Revue de presse !

Allez, un petit tour de ce qu'on dit des Méga-Bêtes et de J'aime mes cauchemars, ici et là.




Pour J'aime mes cauchemars (Gallimard giboulées, avec Amélie Graux), c'est un peu le rêve (oui je sais c'est fastoche), des articles, il y en a plein et des bons !


Chez maman Baobab
"C'est un *** Coup de cœur *** d'ailleurs pour une idée drôlement menée et exploitée dans un univers monstrueusement coloré et attachant. Bonne nuit !"



"Avec la sensibilité qu'on lui connait, et une bonne dose de dérision, Séverine Vidal rappelle la nécessité de laisser l'imaginaire se débrider. Point de vernis à paillettes pour masquer la noirceur : non seulement les cauchemars sont bien là, mais les enfants en ont besoin."

Les cauchemars font partie de l’évolution normale de l’enfant et lui permettent même de mieux canaliser ses angoisses et ses pulsions (dès 3 ans). Oui, seul ! Parce que grandir n’est-ce pas (s’)apprivoiser ? Notre rôle d’adulte serait-il alors d’allumer la lumière sur un monde meilleur afin d’éloigner les peurs ?… Ah ! Non, rassurer ce n’est pas cacher

L’héroïne de J’aime mes cauchemarsa beau faire des rêves pas toujours très agréables, elle apprécie leur étrangeté et refuse le monde aseptisé que sa mère lui propose pour les combattre. Il y a dans le dessin d’Amélie Graux un hommage aux maximonstres et à des albums commeIl y a un cauchemar dans mon placard (Gallimard Jeunesse, 2010).

Voilà un album qui montre l'importance des cauchemars dans l'épanouissement de nos bambins. Qui montre comment ils apprennent à gérer leurs peurs, leurs émotions. Comment ils apprennent à se surpasser pour dompter ce qui les effrait, et comment finalement, ces cauchemars peuvent devenir source de jeux et de défis !




Voilà un chouette album, décalé et délirant, sur l'art de dédramatiser les terreurs nocturnes et de prendre à rebrousse-poil tous ces clichés lénifiants pour voir la vie plus rose !



Un album bien sympa et aux couleurs super chouettes pour dire que chasser les cauchemars à coups de livres à paillettes et de veilleuse n'est pas forcément la solution! Il faut écouter les enfants et comprendre leurs ressentis! Les cauchemars font partie de leur imaginaire et les aident à se construire. Un album qui traite les cauchemars et les peurs nocturnes de manière décalée et différente. Et si on les aimait les cauchemars de notre enfance ? 
Buveurs d'encre
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Pas mal aussi du côté des Méga !





Dans le JDD !

"Une histoire Méga Bien !"



COUP de COEUR FNAC

Chez Enfantipages
"Un duo explosif qui fonctionne à merveille pour faire naître le rire et la surprise au détour des pages où leurs petits héros animaux parleront aux plus jeunes lecteurs dès 4 ans. De quoi rêver à des exploits fabuleux !"

La mare aux mots

"Rarement une série humoristique n'aura été aussi classe"

Doolittle
"Même les moins féroces peuvent êtres des vrais protecteurs. La preuve, Méga-Cochon a réduit Moustic Man en miettes, Méga-Loup a sauvé la petite en rouge, Méga-Lapin a sauté sur la Lune et Méga-Souris, elle, a sauvé les enfants du bus 14, ouf ! Des vrais super-héros qui protègent Méga City Ville, et qui fait le bonheur des habitants. 

Les Méga-Bêtes sont déjà en librairie, et n’attendent que vous!"

"Une histoire courte qui fonctionne parfaitement avec le public visé (4-5 ans), des phrases courtes pour une meilleure compréhension, une typographie variée par sa forme et sa couleur. Le tout illustré par Barroux, des formes arrondies, des aplats de couleurs et la couleur rouge du super héros."

 Un texte drôle et rebondissant signé Séverine Vidal, des illustrations pas piquées des moustiques signées Barroux dont on reconnait et apprécie fortement l'univers, cette méga-bête là est drôle, drôle... et elle a un secret bien caché, que je vous cache aussi. Pardi ! 

Je n'en reviens pas. 
Voilà pour aujourd'hui !



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